Collection Lesbiennes. LInstitut De Beauté (1/1)
Ma sexualité sest dessinée dans mon adolescence quand un jour passant devant la chambre de papa et maman ayant besoin daller aux toilettes ce qui était très rare, jai entendu maman criée, jai eu peur quelle ne soit malade, jai ouvert doucement la porte et pendant une fraction de seconde jai vu que papa la frappait avec un long bâton.
Plusieurs années après je devais apprendre par ma cousine avec qui jai découvert bien des choses que sa mère la sur de maman lui avait parlé de cet épisode de sa vie ou maman avait accepté de se faire sodomiser pour la première fois par papa.
Quand jai ouvert la porte, il venait de finir de la pénétrer doù le bâton et maman était en pleurs car à part la douleur du début, le plaisir quelle avait ressenti lavait fait tomber en larmes.
Pour autant, à court terme avant dapprendre ces détails, le mal était fait et je me suis bien juré quaucun bâton ne viendrait me frapper.
Les choses ont été facile dans les temps qui ont suivi, car au bahut à la récré les filles restaient avec les filles pendant que les garçons jouaient au football comme des malades.
Depuis quelque temps ma petite chatte changeait et me démangeait, une nuit je me suis réveillée comprenant que javais laissé entré un doigt à lintérieur, Lexcroissance qui se formait en haut de mon sexe bien plus développé que celui dAdriana que je voyais pendant les vacances quen nous allions chez Mamy qui habitait à Grasse.
Attention, cest ma cousine et je voyais, comment elle était fichue, car nous couchions dans la chambre de nos mères du temps où elles aussi étaient adolescentes.
Elle avait commencé son initiation à la vie naturelle pour la nourriture et lhygiène de vie et couchant nue, hors règles qui nous étaient tombées dessus depuis quelques mois.
Cest grâce à elle que jai progressé dans la connaissance de mon corps, car elle ma dit que javais un clitoris surdimensionné à la limite dêtre une petite bite.
Quand elle dormait, elle prenait des postures indécentes écartant ses cuisses découvrant son abricot qui bizarrement au mien était toujours sans aucun poil.
Jai profité de ce qu'elle me parlait de mon clitoris qui pour elle était normal des filles en ayant des petits dautres comme moi des gros pour lui demander pourquoi elle était sans poils, cest ainsi que jai compris quelle se faisait épiler chaque semaine dans un institut.
Il est vrai que certains matins même ici en vacances elle se rendait dans une rue de Grasse avec son Piaggio ou elle faisait entretenir sa foufoune comme elle disait en parlant de son sexe.
Elle y allait le lendemain et ma emmené, la jeune femme qui nous a reçus était une jolie blonde, jai eu un dernier scrupule, mais comme javais de largent de poche, je me retrouve sur la table de travail de la salle où elle opérait.
Adriana se fait épiler à la cire, car à part le laser hors de prix cest le système le plus efficace pour que les poils disparaissent le plus longtemps possibles.
Jai de petits poils jusquà lorée de mon anus, lesthéticienne met des gants de protection et mayant placé sur le côté une jambe levée, je la vois prendre de la cire chaude et me badigeonner de mon petit trou jusquà ma fesse.
Ce travail fait, elle prend une bande quelle place sur le côté préparer avant de tirer rapidement, jai mal, mais je résiste à la douleur prenant même un certain plaisir à ce travail sur la partie la plus secrète de mon corps invisible de moi.
Elle fait lautre côté me faisant remettre sur le dos, je vois quelle regarde mon excroissance vaginale quand elle me fait écarter les cuisses et commence par me raser avec des jetables, je choisis de garder un timbre-poste pour la grandeur et en forme de triangle.
Aucune sensation pendant ce travail, mais dès quelle prend sa spatule pour étaler la cire, je sens bien quelle me touche le clito.
Une fois, oui, deux fois pourquoi pas mais je comprends quelle le fait volontairement.
Elle le fait exprès, le nombre de fois que cela se produit finit par le faire apprécier et que je sens de la liqueur couler de ma chatte.
Adriana est assise dans un des fauteuils au coin de la pièce et vu quelle est plus basse ne peut voir ce quelle me fait quand prenant une petite serviette chaude elle me la passe carrément sur la chatte, cest la première fois depuis mon doigt quun frisson me traverse tout le long du dos.
Elle reprend son travail et en quelques minutes elle finit de mépiler, elle change ses gants en mettant de plus fins avant de prendre de la crème et me masser doucement pour faire disparaître lirritation.
Cest bien mon clito qui linspire, car elle me regarde de ses grands yeux bleus, tourne la tête vers Adriana qui lit une revue féminine attendant son tour tranquillement et le caresse avec son pouce.
Jai un nouveau râle de plaisir que ma cousine entend, elle me dit quil faut savoir souffrir pour être belle et retourne à sa lecture sans comprendre que pour la première fois de ma vie, une femme me donne du plaisir.
Hélas, la discrétion étant de règle, ma première expérience se termine ainsi et lesthéticienne se doit de finir son travail ayant une chatte exactement comme nous avions souhaité quelle soit.
Le passage sur la table dAdriana est moins long, car le travail est soit moins important venant toutes les semaines où que la jolie blonde lui porte moins dintérêt.
Jaurais voulu retourner à un autre moment la rencontrer cette année-là, mais je nai trouvé aucun motif pour me libérer de ma cousine, elle part contre se sert de moi pour confondre grand-mère, le soir elle saute par la fenêtre étant au rez-de-chaussée pour aller retrouver son copain.
Cest au bal du 14 Juillet quelle là trouvée perdant ce soir-là son pucelage, il avait un copain à qui je semblais plaire, mais chaque fois que je dansais des slows, je sentais quil avait un bâton quil métait impossible de recevoir en moi.
Après ces premières vacances mayant apporté mes premiers émois, je rentrais en école desthéticiennes à Paris ou je trouvais une chambre en colocation.
Viviane est une jolie brune qui me plaît, mais je suis trop inexpérimenté pour passer à lacte et que nous devenions intimes, pourtant après lexpérience à linstitut de beauté de Grasse jaimerais passer à la phase ultime de mon éducation sexuelle féminine.
Pendant un temps je suis accro à Internet et ce sont les rapports féminins qui ont tout mon intérêt, ma cousine vient me voir de temps en temps et me raconte, comment elle se fait prendre par des mecs, elle en a même reçu deux en même temps par-devant et par-derrière, elle est fière de son exploit et voudrait mentraîner vers ces pratiques sexuelles.
Je suis lesbienne et je nai nulle envie de franchir la ligne qui me ferait basculer dans lautre camp, jai bien vu sur Internet que des hommes ou des femmes étaient bis, mais chaque fois que je croise un homme qui pourrait me faire basculer immuablement le bâton de papa me revient à lesprit et je tourne mon chemin.
Viviane comme ma cousine est libre de son corps, un jour prenant mon courage à deux mains même si cela devait me conduire à déménager alors quelle est sous la douche jentre derrière elle et prenant du savon elle me laisse faire.
Je mets longtemps à la savonner et voyant que je nai aucun mouvement hostile de sa part, je laisse traîner mes doigts entre ses deux mappemondes, je délaisse son anus et profitant quelle écarte ses cuisses mes doigts sont à lorée de sa chatte épilée comme la mienne.
Ma main libre enserre ses seins ses pointes durcissant à mon contact, cest le moment où elle tourne sa tête et que nos langues se trouvent.
Elle se retourne abandonnant ma bouche une fraction de seconde semblant être une éternité avant que je sente ses mains sur mon corps après quelle est récupérée du savon.
Je plie les jambes comme elle la fait et cest dans cette douche quelle entre trois doigts en moi, je sens du liquide coulé et quand je baisse la tête, je maperçois que cest , elle m'a pris mon hymen me faisant franchir lultime étape de ma vie de femme.
Nous sommes amantes pendant deux ans, japprends à caresser ma partenaire pour lui apporter le maximum de plaisir, nous adorions nous placer chatte contre chatte mon clito entrant en elle, mais la vie est ainsi faîte et nous nous quittons, car elle faisait partie du monde des bis pour se marier et avoir des s.
Je papillonne de fille en fille traînant dans les bars lesbiens sans trouver la perle rare que je cherche et qui pourrait faire chavirer mon cur, jen rencontre une ou deux qui me jurent fidélité pour toute notre vie, mais que je retrouve dans les bras de bâtons comme jai pris lhabitude de nommer les hommes et leurs verges.
Je finis par avoir mon diplôme et je minstalle à mon compte, jai déjà caressé des chattes pendant mes stages de formation, mais sans jamais franchir le pas bien que certaines de celles qui se présentaient à moi étaient fortement à mon goût.
Jai en mémoire lusage que faisait lesthéticienne de Grasse de sa spatule et profitant daller voir Mamy je la revois passant de bonnes soirées, jai même essayé de venir vivre avec elle, mais elle tenait à son indépendance comme je tiens à la mienne.
Linstitut que jouvre fonctionne du feu de Dieu au point ou dêtre obligé de créer un emploi, je vais à mon école voir une de mes professeurs avec laquelle javais de bons contacts.
Nous avons une aventure ensemble, mais nous décidons que ce moment dintimité sera le seul alors que jai mon renseignement et surtout les noms de trois élèves susceptibles de venir travailler chez moi.
Cest une jeune femme rousse avec des seins comme des obus qui tendent sa blouse la rendant fort appétissant que je choisis, je pourrais essayer de la mettre dans mon lit, car elle semble peu farouche, mais je suis sa patronne et je veux éviter de prendre des risques avec une plainte pour harcèlement.
Hier, une jolie jeune femme est venue sinscrire et nos regards en disent long sur les possibilités de rapprochement, en partant elle ma bien demandé si javais bien noté son numéro de téléphone, je vais attendre deux jours avant de lappeler.
Qui peut dire si cest celle que jattends ?
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